"WTF?" "Well, you're out of my mind".

- Tu es là, dit-elle seulement.

- Mmh.. fit-il en posant son menton sur la tête de S.

Il passa ses bras autour d'elle. Il se sentait bizarrement mélancolique.

- Elle n'aurait pas dû revenir.

- Elle n'aurait pas dû revenir.

S médita un instant, soupira.

- Je crois qu'elle y a été obligée.

Elle n'aimait pas son regard, et des questions lui brûlaient la gorge, et elle ne savait pas si elle pouvait les poser, si il les interprêterait mal, si ce n'était que justice de se sentir en insécurité...
Elle se libéra de lui pour ne pas qu'il remarque sa mine soucieuse, et l'embrassa distraitement sur la joue et se dirigea vers le lit en lui tournant le dos.

Elle se libéra de lui pour ne pas qu'il remarque sa mine soucieuse, et l'embrassa distraitement sur la joue et se dirigea vers le lit en lui tournant le dos.

- Ca va ? Tu n'es pas non plus très enchantée de la voir, j'ai raison ?

- Ca va ? Tu n'es pas non plus très enchantée de la voir, j'ai raison ?
- Non, c'est vrai, accorda-t-elle avec un mince sourire.

Elle rammassa quelques affaires à Elle en les pliant. Il lui fallut une minute pour retrouver sa sereinité et se retourner vers lui.

- Je suis juste un peu... elle haussa les épaules en riant, comme si elle se moquait d'elle même, effrayée de... hm, l'emprise qu'elle continue a avoir sur toi, voilà tout.

- Je suis juste un peu... elle haussa les épaules en riant, comme si elle se moquait d'elle même, effrayée de... hm, l'emprise qu'elle continue a avoir sur toi, voilà tout.

Il s'approcha d'elle pour lui caresser la joue.

- Personne n'a d'emprise sur moi, déclara t'il avec un certain dédain, et c'est toi que j'ai choisi S. D'accord ? Rassure toi.

K appuya ses lèvres contre celle de Sarah. Il évitait d'y penser mais tout chez elle était différent d'Helena, même les baisers.

- Personne n'a d'emprise sur moi, déclara t'il avec un certain dédain, et c'est toi que j'ai choisi S. D'accord ? Rassure toi.

Elle le regarda et elle se sentie soulagée. Naive petite fille encore, que de simples mots pouvaient appaisés son coeur. Elle répondit à son baiser avec délicatesse d'abord, puis avec passion, nouant ses mains autour de son cou. Quand leurs baisers devint brulant, elle se recula à regret.

- Je dois ranger mes affaires, murmura-t-elle contre ses lèvres. ...réintégrer ma chambre...

- Je dois ranger mes affaires, murmura-t-elle contre ses lèvres. ...réintégrer ma chambre...

- C'est vraiment si grave pour toi d'être en retard ? demanda t'il en embrassant ses épaules, remontant vers son cou.

- C'est vraiment si grave pour toi d'être en retard ?
- On voit que tu n'as pas encore eu affaire a... elle rit quand il descendit dans son cou, ...à la nouvelle Mlle Scott.

Elle passa ses mains dans ses cheveux et enroulla une de ses jambes autour d'une des siennes.

- Elle a pourtant été claire... pas de filles... dans le dortoire des garçons.

Elle se recula sans pour autant se détacher, embrassa d'un baiser frais, volage, ses lèvres et se dirigea vers les vestiaires.

- Mais tu peux m'aider à prendre ma douche! lança-t-elle par deçu son épaule.

- Mais tu peux m'aider à prendre ma douche! lança-t-elle par deçu son épaule.

Il rit doucement, enlevant déjà son T-shirt.

- Elle a tant changé que ça ??

- Elle a tant changé que ça ?

S passa la tête par la porte, les cheveux défaits, l'eau coulant déjà, et ses cuisses nues indiquaient qu'elle avait été plus rapide que lui pour se deshabiller. Elle n'avait qu'un boxer et un tee-shirt.

- Tu n'imagines même pas à quel point.

Elle disparue, et goutait l'eau de son pied quand il passa la porte. Elle lui sourit d'un air malicieux.

Il se crispa soudainement.

Mais qu'est-ce q...?

Elle coupa l'eau, se rapprocha de lui.

- Kaley? appela-t-elle. Qu'est-ce qu'il se passe?

Elle toucha sa joue, laissa couler sa main le long de son torse. Elle se retourna, colla son corps au sien et glissa de la même manière.

- Qu'est-ce qu'il se passe, K, tu n'as pas envie de moi?

- Qu'est-ce qu'il se passe, K, tu n'as pas envie de moi?

Bon sang ! Cette manière de bouger, de parler ! C'est presque s'il n'entendait pas la voix d'Helena à la place de celle de Sarah.
Il la poussa viollemment, se sentant complètement perdu.

- Reste..reste là.

Il fallait qu'il se reprenne maintenant, sinon il allait virer fou.

- Reste..reste là.

Elle tituba, sous le choc, ne comprennant pas ce qu'il se passait sous ses yeux. Quelle mouche l'avait donc piqué? Elle prit un peignoir, s'enroula dedans et sortie de la salle d'eau. Il était assis sur le lit, et lui lança un regard peu avenant qui ne l'empêcha pas de se diriger vers lui et de s'agenouiller à ses pieds.

- Hey...

Elle posa une main sur les siennes.

- Explique moi...

Elle posa une main sur les siennes.

- Explique moi...

La compassion... Il avait horreur de ça, mais c'était différent avec Sarah.

- Je suis désolé... marmona Kaley. J'ai crût voir, entendre Helena...

- Je suis désolé... marmona Kaley. J'ai crût voir, entendre Helena...
- Oh.

OOH!

Elle se releva et s'assit à côté de lui, sans dire un mot, complètement sonnée.

- Oh, répéta-t-elle. Et bien je...

Elle se laissa tomber sur le dos sur le lit.

Et merde.

- Oh, répéta-t-elle. Et bien je...

Elle se laissa tomber sur le dos sur le lit.
Il posa doucement sa tête sur son ventre.

- Laisse tomber, Sarah. Je m'attendais pas à la voir c'est tout, demain ça sera passé.

- Laisse tomber, Sarah. Je m'attendais pas à la voir c'est tout, demain ça sera passé.
- Non...

Doucement, la révélation apparaîssait : clair, simple.

- Tu ne l'auras pas oublié demain. Tu sais pourquoi ?

Elle se passa une main sur le visage, riant jaune.

- Parce qu'elle est là! Tu voulais juste coucher avec moi! Tirer ton coup en l'attendant, ein ?! Maintenant qu'elle est revenue, tu l'as dans la tête. ...Quelqu'un de tellement plus expérimenté, qui peux te faire tellement de chose que je n'imagine même pas...!

- Tu ne l'auras pas oublié demain. Tu sais pourquoi ?

Elle se passa une main sur le visage, riant jaune. K se redressa pour la regarder.

- Parce qu'elle est là! Tu voulais juste coucher avec moi! Tirer ton coup en l'attendant, ein ?! Maintenant qu'elle est revenue, tu l'as dans la tête. ...Quelqu'un de tellement plus expérimenté, qui peux te faire tellement de chose que je n'imagine même pas...!

- Tu vires parano ! s'exclama t'il, commençant légèrement à s'énerver. Franchement c'est pas le moment, non c'est pas le jour de me prendre la tête S. J'ai pas envi d'une fille qu'il faut tout le temps rassurer.

Il la regardait avec froideur. Froideur dont elle n'avait pas l'habitude, ce regard était d'habitude destiné à sa soeur aînée.

- Tu vires parano ! s'exclama t'il, commençant légèrement à s'énerver.
Franchement c'est pas le moment, non c'est pas le jour de me prendre la
tête S. J'ai pas envie d'une fille qu'il faut tout le temps rassurer.

Il touchait son point faible. Elle le vira de son ventre, se leva.

- J'ai pas besoin qu'on me rassure OK?! J'suis pas FRAGILE! T'entends ça, Kaley?! Pour Information, t'as jamais contredit ce qu'elle t'a dit et ce que je répète maintenant. AlorsDESOLEE D'ÊTRE MOI, PLUTÔT QU'ELLE! DÉSOLÉE! Si tu veux la retrouver, ELLE EST DANS LE COULOIR D'À CÔTÉ, TOUJOURS LES JAMBES OUVERTES POUR TOI! TU LUI DEMANDERAS DE M'APPRENDRE, POUR NE PAS TE DONNER ENVIE D'ALLER LA VOIR QUAND T'ES INSATISFAIT AVEC MOI! ALLER, QU'EST-CE QUE T'ATTENDS? CASSE TOI! VA LA RETROUVER, TA PUTE! JE RESTERAIS PAS DANS TES JAMBES, CETTE FOIS. T'AURAS CAS VENIR ME CHERCHER QUAND ELLE AURA DECIDER DE REPARTIR.

Complètement furieuse, elle s'enfuit dans la salle de bain et claqua la porte.

Hj : lol ><

- ...JE RESTERAIS PAS DANS TES JAMBES, CETTE FOIS. T'AURAS CAS VENIR ME CHERCHER QUAND ELLE AURA DECIDER DE REPARTIR.

Complètement furieuse, elle s'enfuit dans la salle de bain et claqua la porte.
Oh non ! Elle n'allait pas s'en sortir comme ça !

Il la suivit.

- Sarah ouvres ! Je n'aime pas parler aux portes !

Kaley soupira.

- Est-ce qu'une fois, tu m'as entendu dire que je voulais retourner avec ta soeur ?? Ca ne se voit peut être pas, mais elle et moi ça a pas été qu'une passade. Tu devrais pouvoir le comprendre. Mais laisse tomber, parceque tu sais quoi ?! T'es qu'une GAMINE que je BAISER !!! ALORS RESTE ENFERMER DANS TA SALLE DE BAIN, JE VAIS REJOINDRE MA PUTE DE SERVICE !

- ... ALORS
RESTE ENFERMER DANS TA SALLE DE BAIN, JE VAIS REJOINDRE MA PUTE DE
SERVICE !

La porte s'ouvrit à la volée.

- TU SAIS CE QU'ELLE TE DIT LA GAMINE? QUE TU ÉTAIS BIEN CONTENT DE L'AVOIR QUAND TU N'AVAIS PERSONNE! MAIS QUE SUIS-JE CONNE D'AVOIR CRU QUE TU TROUVERAIS EN MOI QUELQUE CHOSE DE PLUS ATTRAYANT QU'UN SIMPLE... TROU!!

Elle le dépassa sans même le regarder, les yeux piquants.

Elle le dépassa sans même le regarder, les yeux piquants.

Il l'attrapa par le bras, la forçant à se retourner pour lui faire face. Il boullait de rage, déception. LE Kaley nous ferait-il une dépression ?
Il plaqua Sarah contre un mur, tenant son visage en coupe et l'embrassa passionément. C'était comme si il arrivait à pénétrer en elle (Hj: âme) par le simple fait de lui donner ce baiser ardent.

- Pourquoi faut-il qu'elle gâche toujours tout ? demanda t'il, ironique en posant son front sur l'épaule de Sarah.

Elle répondit automatiquement à son baiser. Sa haine pour lui s'est vue dissoute dès qu'il toucha ses lèvres. Elle s'aggripa à lui, désespérément.

- Pourquoi faut-il qu'elle gâche toujours tout ?

S secoua la tête, ne répondant pas. Elle attrapa sa nuque et laissa couler la larme qui menaçait de tomber depuis le début sans pour autant qu'il la voit. Il n'aura jamais idée de comment il l'avait blessée, mais elle savait qu'il fallait prendre des coups durs pour devenir moins fragile.

- Notre première dispute, sourit-elle avant d'enrouller ses jambes autour de lui.

- Notre première dispute, sourit-elle avant d'enrouller ses jambes autour de lui.

- Tu trouves du positif un peu partout... J'aime bien ça, j'aime aussi la façon dont elle se termine.

Il l'embrassa dans le cou, remontant doucement jusqu'à ses lèvres.

- Je suis aussi désolé pour tout ça.

Il n'y avait bien qu'avec elle que Kaley s'excusait, mais ça elle avait l'air de ne pas s'en rendre compte, alors que c'était un exploit.