I know, I know, I know.

Il avait enfin obtenu cette bourse. Après de longues et difficiles luttes acharnées, il avait enfin l'argent pour payé l'école prestigieuse d'HlY. Le fait que ce lycée soit aussi celui dans lequel étudiait JF était plus que le simple bonus. Ca avait tout changé. Lui qui visait Yalle, Harvard... et les grandes villes pour s'échapper de ce trou dans lequel il avait été plongé dès la naissance... il se retrouvait à vagabonder dans les couloirs vides.

Cela n'aurait rien servi d'être dans une école prestigieuse et de renommée mondiale si j'étais loin d'Elle.
Tout en pensant à Elle, il entendit des bruits de talons, la reconnut aussitôt. Son coeur se mit à battre plus vite, se colla contre le mur pour se faire invisible. Quand il sentit l'effluve de son parfum, il attrapa sa main de la sienne, plaqua l'autre sur sa bouche pour étouffer son cri de surprise, ouvrit la porte d'une classe vide du pied, les fit rentrer à l'intérieur, referma la porte tout en gardant J fermement maintenue contre son torse. Il attendit quelques minutes le temps qu'elle ait peur et se débatte, puis souffla à l'oreille.

- Alors dis moi... pourquoi ne t'ai-je pas vu des vacances ? Pourquoi ai-je observé la presse people pour y voir toujours se même visage réjoui aux qautres coins de la planète avec des hommes qui me dépasse en beauté ET en comptes bancaires ? Pourquoi n'ai-je pas eu de nouvelles de toi sinon quelques mails & sms ?

Il la lâcha, souriant.

J. Seule. Dans un couloir. Soudain un homme. Une main l'étoufant. Une porte se refermant. Le noir d'une classe vide. Son odeur. Lui. Elle sentit son souffle chaud s'engoufrer dans son oreille. Alors que son coeur a elle fesait encore des bonds contre le sien.

- Alors dis moi... pourquoi ne t'ai-je pas vu des vacances ? Pourquoi ai-je observé la presse people pour y voir toujours se même visage réjoui aux qautres coins de la planète avec des hommes qui me dépasse en beauté ET en comptes bancaires ? Pourquoi n'ai-je pas eu de nouvelles de toi sinon quelques mails & sms ?

Andrew la lacha.

- Andrew je... je ... Elle ne voulait pas s'expliquer. Elle sourit apercevant malgrès le manque de lumière son sourire à Lui.

Sait il à quel point il m'a manqué ?

Joy tandit ses mains à l'aveuglette. Toucha son torse, remonta ses mains vers le visage d'Andrew, s'en empara. Il n'avait pas changé, pas du tout. Son bras droit glissa dans le dos d'A. Alors que le gauche aggripé doucement sa nuque.

- Tu m'as manqué.

- Tu m'as manqué.

Il se mordit la lèvre en faisant la moue comme un enfant, avança vers elle, et alors qu'il était à quelques centimètres de ses lèvres recula en inspirant son arôme.

- Voilà une piètre excuse.

Il haussa un sourcil interrogateur, la détailla. Il devinait aisément un jupe, ou une robe, grâce au collant dont il sentait le contact léger de ses jambes entre les siennes. Il passa sa main dans ses cheveux, mais ne l'embrassait toujours pas.

- Et je te préviens qu'être sexy n'en ai pas une non plus.

Il embrassa son nez, son front, juste pour la faire enrager.

- Tu m'as manqué aussi.

- Tu m'as manqué aussi.

Joy, tête relevé, sentit le contact froid des lèvres d'Andrew embrasser le bout de son nez. Elle fronça les sourcils, à la fois agaçée qu'il arrive a lui resister et amusé du jeu d'Andrew.

- Oh. Je vois...

L'un des bras de Joy remonta vers l'épaule droite, tandis que l'autre descendait vers la gauche. Elle approcha sa bouche du visage d'Andrew avec un désir plus grand que jamais de poser ses lèvres sur le siens mais ne le fit pas...

- Tu veux jouer ?

Joy entreprit de faire reculer son homme jusqu'au mur, chose qui devint aisé à faire vu qu'Andrew esquivait ses baisers et reculait à chacune de ses approches. Alors qu'ils approchaient dangereusement du fond de la classe, Joy le fit se retourner et plaquer son dos à elle contre le mur en prenant soin d'attirer Andrew vers elle.

Il se retrouva à la surplomber de sa hauteur, la gardant contre lui, collant son bassin au sien et l'empêchant de bouger avec ses bras plantés de chaque côté de sa tête.

- Dans une salle de classe, Mlle Fawley? Voilà que vous réalisez un de mes plus anciens fantasmes masculins.

Il inspira le parfum de sa peau, posant ses lèvres derrière son oreille, dans son cou, riant et la chatouillant de son souffle. Sa main droite en profita pour effleurer la courbe de son corps de ses yeux au milieu de ses cuisses. Elle revint ensuite pour enlacer ses doigts aux siens.

- Comment était Rome?

Il embrassa le creux de sa mâchoire puis remonta jusqu'à la comissure de ses lèvres. De son autre main, il remonta les cheveux de J derrière son oreille et souffla:

- ...Paris ?

Il se redressa, la regarda dans les yeux. Elle lui faisait perdre tous ses moyens. Il posa ses mains sur ses hanches. Espérons qu'il saura lui aussi lui faire tourner la tête.

Combien de temps avaient ils avant qu'un cours ne commence dans cette salle ?
Une quard d'heure ? Tout au plus.

Quinze minutes, c'est suffisant ?

Euh, Jo' .... c'est décadant ça.

Les mains d'Andrew enlaçait sa taille, Joy aggripa sa nuque afin de pouvoir coller ses lèvres aux siennes.

- Je pense avoir trouvé mieux que la tour eiffel...

Elle glissa une des mains sous la chemise pourtant si bien rangé dans le pantalon d'Andrew en defesant au passage deux boutons.

- Puis entre nous, la tamise ce n'est qu'une grosse flaque en Italie...

Elle embrassa encore ses lèvres, le rapprochant encore d'elle, les pressant tout deux contre le mur.

- Je pense avoir trouvé mieux que la tour Eiffel...

Il sentit sa main plus qu'il en eut conscience. Il se raidit, se délectant de ce contact froid. Il attrapa sa main, voulant l'empêcher d'aller plus loin. Leurs regards se cognèrent, et il lâcha sa prise, désarçonné. Sa tête lui hurlait "Soit un Homme!", mais elle semblait le posséder inévitablement.

Damn Girl...

- Puis entre nous, la tamise ce n'est qu'une grosse flaque en Italie...

Il ne pu lui répondre, et pensait qu'elle ne désirait point de réponse. Leurs corps se collèrent, s'épousant parfaitement. Il pria pour que son corps ne trahisse pas l'excitation qui le gagnait. Une de ses mains allait se perdre sous son tee-shirt, effleurant l'accroche de son soutient gorge et s'en éloignant vivement, comme prit en faute, redescendant vers le bas de ses reins. L'autre effleura sa nuque du bout du doigt et remonta dans ses cheveux. Il l'embrassa avec fougue, respira son arôme, la respira, Elle.

Il lui empoigna le poignet, et sans rompre leurs baisers, il la plaqua contre le mur, et ce fut à lui de se plaquer contre elle. La main dans sa nuque rapprocha le magnifique visage de Jo plus près de Lui, sa main rèche sur sa peau douce. Il effleura sa joue dans une seconde de délicatesse, mais quand il posa son pouce sur ses lèvres entrouvertes, la passion le repris, et il fut sur que si elle ne le sentit pas, elle le comprit.

Le professeur Bridger Prince, téléphone en main, revenant de la salle de conferances.

- Allo, James ? Eh bien j'en reviens justement et un conseil : pointe toi ici rapidement et amène tes sarcasmes.

Il se dirigeait vers sa salle de cours, quelque peu énervé.

- Comment ça ?! Naaaaaan ! Pause. Elle a simplement dit, je te résume, "Fini la rigolade" ... Biensûr qu'elle ne faisait pas de l'humour !

Il fouillait nerveusement dans sa sacoche à la recherche de ses clefs.

Putin ...Putin...

- Arrête de rire ! [...] Oui James, nous allons être obligé de fumer dehors ! Pause. Comment ça "essayer d'en savoir plus ?!", la résoner ?!

Ah les voila.

Il tourna les clefs dans la serures, rien.

- Bordel tu as encore laissé MA salle ouverte !

Ses mains sur son visage, deux mois qu'elle les attendait. Deux mois que...

- Tu n'as pas entendu du bruit ?! chuchota Joy à Andrew en ecartant rapidement leur deux visages.

La poignet était sécoué de l'autre côté de la porte.

- Bordel tu as encore laissé MA salle ouverte !

Bridger !

Joy s'empressa de remettre son t-shirt correctement et ce les diriger vers l'amoire du fond da la salle.

- Le prof d'anglais ! lacha t-elle en serrant les dents. Vite entre la dedant !

- Le prof d'anglais ! lacha t-elle en serrant les dents. Vite entre la dedant !

Il tourna la tête, vit la porte s'entrouvrir. Malgré l'état dans lequel il était, et dérangé par cette réalité qui le rappelait à elle, il réagit néammoins au quart de tour. Il prit la taille de Joy, la poussa devant et ferma la porte derrière eux. Il ne s'était pas rendu compte à quel point cette armoire était exigue. De plus, elle sentait le renfermé et la vieillesse des livres qu'elle contenait. Se tournant pour ne pas étouffer son amie, il baissa la tête pour ne pas se cogner.

- Excellent, non vraiment, très bonne idée Jo'.

Il sentit lui même le sarcasme dans sa voix. S'il se faisait prendre, s'en était fini de sa bourse d'étude pour l'Université. Il soupira. Il tourna la tête : cette fille allait le perdre. Puis contre toute attente, il fut pris d'un fou rire, et fut obligé de fourrer son nez dans les cheveux de Joy pour s'arrêter.

- Excellent, non vraiment, très bonne idée Jo'.

Elle essaya de lever legerement la tête pour lui jeter son regard le plus mauvais.

- Tu proposais quoi ?! Qu'on saute par la fenêtre ?!

J'aime pas le noir.

Joy replia ses bras contre elle d'un air boudeur, en plus elle n'avait jamais aimé l'odeur des livres.

- Et puis ça pu !

Andrew explosa de rire et enfouie sa tête dans les cheveux de Joy pour étouffer la "crise".

- Mais arrêteeeuuh tu vas nous faire reperer, le rire étant communicatif elle sourit legerement, tu me chatouilles idiot stop.

Inutile, elle ne pouvait s'empecher de gigoter.

- Mais arrêteeeuuh tu vas nous faire reperer, le rire étant communicatif elle sourit legerement, tu me chatouilles idiot stop.

Il lui attrapa les avants-bras, la colla contre lui.

- Je ne comprend pas pourquoi on se cache.

Réfléchissant tout seul, il la garda contre lui. Il pouvait sentir l'odeur de sa peau, magnifique.

- Nous ne faisions rien de mal.

Il sourit dans le creux de son cou, tout en chuchotant. Quel délice de la voir se raidir, et des frissons apparaître à son souffle.

- Nous aurions pu dire que nous révisions...

- Je ne comprend pas pourquoi on se cache.

T'as raison on aurait dû danser à poil sur son bureau.

- Nous ne faisions rien de mal.

Pour le moment.

- Nous aurions pu dire que nous révisions...

Elle se pencha en arrière legerement pour le regarder.

Il deconne là ?

- Chéri, parfois tu me fais peur à être si... si... pure.

Elle eut un long soupire.

- Et Bridger sait pertinament que je ne révise ja-mais.

... J'ai peur être une idée.

- Chéri, parfois tu me fais peur à être si... si... pure.

Il sursauta sous le surnom affectif, mais ne chercha pas à relevé. C'est vrai, ils n'avaient jamais parlé de leur relation... s'ils devaient se cacher, toujours.. ou s'afficher d'autant plus? Il balaya ces pensées négatives d'un geste de la tête.

- Je ne suis pas "pur", bouda-t-il. Je pourrai être méchant, si je le veux!
- Et Bridger sait pertinament que je ne révise ja-mais.
- Et toi tu devrais être un peu plus studieuse, trancha-t-il.

Na!

- Me cottoyer n'a-t-il rien changer dans ta façon de vivre?

Il n'attendait pas vraiment de réponse, même s'il espérait au fond de lui que ce fut le cas.

... J'ai peur être une idée.
- ...tu pourrais lui empreinter un de ses livres, je suis sur qu'il ne t'en voudra pas si tu lui explique que tu te lances dans une nouvelle vie ! Il se mit à rire, euphorique. Sinon, je suis sure que le prof voudra bien que nous nous cachions en dessous de son bureau.

- ...tu pourrais lui empreinter un de ses livres, je suis sur qu'il ne t'en voudra pas si tu lui explique que tu te lances dans une nouvelle vie ! Il se mit à rire, euphorique. Sinon, je suis sure que le prof voudra bien que nous nous cachions en dessous de son bureau.

Elle sourit en levant les yeux au ciel.

- Tss... Nan, je sors tu ne bouges pas. Pas d'un cil.

Elle pausa sa main sur la bouche d'Andrew.

- Et pas un bruit, pas un mot... Je nous sors de là en deux minutes. Promis.

Joy retira sa main et embrassa Andrew avant de pousser la porte de l'armoire...

C'est parti...

Bridger poussa la porte d'un air distrait, visiblement le discours de Johell l'avait boulversé.

- Eh bien la prochaine fois James tu vérifies ! Pause. Non je ne t'engueule pas je dis juste que tu es... un gamin ! Rires.

Il alluma la lumière, posa sa sacoche sur le bureau. Téléphone toujours en main, il prit une craie pour écrire la date du jour au tableau.

- Arf, tu sais les femmes de caractères j'en ai marre... Puis je te rappelle qu'on ne sait toujours pas son age. Pause. Non pas tant. [...] Honetement je ne crois pas que ses seins soient re...

La porte de l'armoire derrière lui s'ouvrit doucement, il fit volte face pour voir apparaitre Joy Fawley. Elève plutôt agitée qu'il eut dans sa classe l'an passer. Une jupe un peu trop courte, un chemisier déboutoné, les cheveux legerement décoiffés, rien pour déplaire. Elle avançait vers lui avec un large sourire.

- Ja... James...

Mais qu'est-ce qu'elle... ?

- Arrêtes, souffla-t-il, paniqué.

Mais la jeune fille lançait déjà ses instructions.

- Que suis-je bête, se morina-t-il, je sors avec Joy Fawley.

><.

Sa petite amie lança un "je reviens vite!", phrase qui, a sa manière, effaça le reste de virilité qu'Andrew pouvait ressentir de la situation.

- C'est moi l'homme ! dit-il à la porte déjà fermée.

Juste comme ça...

Bien "Comment séduire un homme en deux minutes.".

Joy avançait à pas lents vers Bridger, plongeant son regard dans le siens, mordillant sa lèvre inferieur. Elle articula un "Bonjour" silencieux. Se rapprochant toujours de sa cible.

- Ja...James...

But atteind. D'une main elle attrapa sa cravate pour l'attirer vers lui, de l'autre prit le téléphone portable et le referma.

- Un peu de solitude nous ferait le plus grand bien professeur.... dit-elle en un souffle.

Elle le poussait vers son bureau, plus loin et plus distrait il serait plus rapidement Andrew pourrait sortir de l'armoir.

- J'ai vraiment besoin de cours de langues...